Au menu des discussions, beaucoup de commerce, et un peu de politique. Et c'est bien là toute la difficulté de naviguer entre Charybde et Scylla: s'il n'évoque pas les sujets politiques qui fâchent, comme la Syrie, on risque de lui reprocher dès son retour. Et s'il insiste trop sur les points qui fâchent, il risque de gâcher ce pour quoi il est réellement venu en Russie: faire du business.
François Hollande doit donc à la fois poursuivre les efforts entrepris par la majorité précédente en matière d'échanges économiques. Mais aussi donner des gages à son camp en parlant Droits de l'Homme et politique internationale avec Vladimir Poutine. "Il y a une chose qui est certaine, c'est que nous parlerons de tout", a dit François Hollande aux premières heures de sa visite.
Regardez les premiers mots de François Hollande à la presse en Russie :
Parler de tout, à commencer par les échanges commerciaux. La Russie est le quatrième partenaire commercial de la France et les échanges entre les deux pays ont progressé de 15% en trois ans, a souligné le chef de l'État français jeudi...
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