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samedi 31 janvier 2015

Angela Merkel, enragée par les gaffes à répétition de François Hollande sur la Grèce

Angela Merkel, enragée par les gaffes à répétition de François Hollande sur la Grèce



Atlantico.fr/Jean-Marc Sylvestre - Angela Merkel, enragée par les gaffes à répétition de François Hollande sur la Grèce

L’arrivée en Grèce de la gauche radicale a encore donné l’occasion à François Hollande de se prendre les pieds dans le tapis. Décidemment il a beaucoup moins d’habileté à gérer l’impact du drame grec que de la tragédie Charlie Hebdo.
Le président de la République ne va pas mettre de temps à perdre dans l’opinion publique les points de popularité qu'il avait regagnés en gérant la crise terroriste, le massacre Charlie Hebdo et la tragédie de l’Hyper Cacher de Montreuil …
La victoire de Syriza, le parti de la gauche radicale en Grèce, puis la nomination de son chef  AlexisTsipras, lui ont donné l’occasion de multiplier les gaffes et les bourdes.
1ere gaffe : François Hollande s’est précipité pour être un des premiers dirigeant de la zone euro a féliciter Alexis Tsipras. Compte tenu de la campagne électorale que le Syriza a faite, il va sans dire que l’enthousiasme du président français a été plutôt mal perçu dans la plupart des grandes capitales européennes, à Bruxelles et surtout à Berlin. Il faut dire qu'en promettant pratiquement une sortie de la zone euro, un abandon des mesures d’austérité, un retour de l’âge de la retraite à 62 ans, une reprise des embauches de fonctionnaires et un arrêt des privatisations, Alexis Tsipras a sorti un programme qui non seulement tourne le dos aux engagement européens mais va à l’inverse de la politique menée en France par Manuel Valls.
Saluer ainsi le programme politique Grec c’est laisser croire que la France pourrait aussi suivre la même ligne et abandonner le virage de compétitivité qu’il a lui-même négocié l’année dernière.
Alors on sait bien que la politique économique française ne peut pas changer. On sait bien que François Hollande n’a pas embrassé le gouvernement grec par conviction personnelle, il l’a fait par politesse diplomatique mais surtout il l’a fait pour dire à tous les frondeurs du Parti socialiste, la gauche (...)lire la suite sur Atlantico

Dette grecque : négocier ou pas avec Tsipras, où est le plus grand danger pour l’Europe (et pourquoi la solution est beaucoup plus proche qu’on le croit) 
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